Le Musée du Louvre
Two years ago, I grew wings and flew to Paris for a month-long immersion subject. This was the final assessment I submitted in my Undergraduate degree. I wrote about the growth and change of France's iconic Musée du Louvre. History will teach us our future.
Despite its many flaws (mostly due to French being my second language), I wanted to share it with you. I attempted to translate it once and realised that the nuances of French word-play would never carry across to English.
Une toile presque
complète mais jamais finie, le Louvre est le chef d’œuvre de Paris, son cœur,
son visage et sa puissance. On y arrive
de Métro, après une expérience désordonnée dans le train avec toute la populace
de la ville et son tourisme, et on monte les escaliers, froid et fatigué de son
voyage. Et là, juste en face de la rue
de Rivoli, un édifice plus grand qu’imaginable, plus beau que jamais, tant
qu’on oublie la circulation le devant.
Les affiches sont accrochées des grands murs, construits avec les
pierres carrés, bien droits, le passage qui apparaît sous les grandes arches du
pavillon.
On traverse la
rue et le passage, se trouvant entre les grands bras du Louvre, les ailes Denon
et Richelieu qui atteignissent lointain, les pyramides qui s’élèvent du sol
comme les hologrammes de verre, là mais transparents, gigantesques mais les
ténèbres des vraies pyramides qu’ils évoquent.
On descend.
Des grands espaces se déroulent dans toutes les directions, les trois
parties, les quarte niveaux, les magasins, les escaliers roulants qui
traversent la hauteur de la grande pyramide et les gens si petits dans cet
édifice. On doit choisir une direction
d’y aller avec l’aide d’un plan, confondu par la largeur du plus grandiose
musée du monde.
On pense que le premier œuvre à voir est la Joconde de Léonard de Vinci.
Après toutes les histoires de cet œuvre qu’on entend partout dans le
monde, on ne peut pas visiter le Louvre sans le regarder. On avance vers l’aile Denon et sa Salle des
États, distrait facilement par tous les œuvres qui allument le chemin. On arrête en contemplant les peintures et les
sculptures qui sont accrochés côte à côte sur les murs ou qui étaient par terre,
toujours muet d’admiration. Et puis, on
la regarde. Elle est là, juste devant. Son sourire, sa perfection. On peut presque oublier la foule qui est
autour cette toile très petite et encore puissante.
On continue.
Le cœur de Paris, de France, pousse les touristes d’une chambre à la
prochaine, toujours faisant le pompage vers les poumons d’espace ensoleillé en
forme des cours. On fait une promenade,
avec la foule, contre la foule, dans un monde unique à lui-même. Rien n’existe sauf les œuvres qui se tirent
sur un chemin inconnu. On est perdu. On est une partie du musée au lieu d’être
individu. On ne remarque plus les
autres, sauf qu’ils se cognent pendant leurs propres hypnotisations.
Il était une fois avant ce spectacle du Louvre. Avant qu’il fût une forteresse, avant qu’il fût
un séjour pour les rois, avant qu’il soit musée, la terre qui soutient le
Louvre avait été un endroit loin de Lutèce, sur les pentes de Sainte-Geneviève. Elle donne aux habitants l’argile pour leurs
maisons et leurs vaisselles, donc un certain type de protectrice contre les
éléments de l’époque gallo-romaine. Elle
donne aux animaux un endroit pour gagner un peu de l’eau, terre bien rempli,
sur leurs voyages à travers ce qu’on maintenant appelle Europe. Elle assoit au bord de la Seine, quelque fois
habitée, quelque fois inconnue jusqu’à l’arrivée d’un très jeune roi de France.
Philippe Auguste, jeune mais décisif, voulut sauvegarder sa ville, la cité
qu’il vit comme centre de son empire. Et
on en eut besoin. Les garnisons
anglaises toujours menacèrent la ville de Paris. Elle devenait une liaison parfaite, le roi
qui traversa son royaume en cherchant une capitale, Paris, qui s’agrandissait
mais sans protection d’une enceinte. Il
consomma son règne en créant une forteresse sur la terre du Louvre, la
grossesse d’une ville, une enceinte qui ne vraiment finit jamais.
Le Louvre, toujours protecteur de la ville, la forteresse, toujours la
création de Philippe Auguste à la fin du XIIe siècle. Forteresse, qui pouvait regarder sa ville et
y contrôlait, qui pouvait regarder les risques et périls qui venait en dehors
de l’enceinte. De nos jours, il est
protecteur des arts, forteresse d’esprit parisien, emblème française partout
dans le monde. Il débuta avec les pierres des maçonneries qui vinrent des autres
villes loin de Paris, même huit-cent ans avant les avions c’était une ville qui
accueillit les étrangers. Chaque compagnie
porta leur propre symbole, un cœur pour une compagnie, une croix pour une
autre. Le nombre des pierres qu’on put
poser par jour définit leur paie et la probabilité qu’on aurait plus de travail
le lendemain. Comme résultat, chacun eut
une journée rude de travail contre les pierres dures, les conditions difficiles
à la côté d’une rivière qui coule très vite.
On peut dire qu’on put perdre leur droit de travailler sur cet édifice
qui grandissait devant les yeux vénérant des parisiens à la même vitesse de la
rivière rapide et vaste.
Quelquefois forteresse contre les envahisseurs, quelquefois conservateur du
Trésor royale, c’était très tôt pendant l’histoire du Louvre qu’il aussi devint
prison des gens souvent noble. Il les
cacha dans le cachot sous-terrain, noir, infranchissable du Louvre ancien. Même comme endroit d’horreur pour ceux qui
eurent la malchance de rester à l’intérieur du grand, imposant donjon, il était
un endroit où on tenait vraiment le pouvoir.
On le respecta avec une peur bleue.
Les années se déroulèrent devant le jeune Louvre, qui regarda
l’augmentation de sa Paris en dehors de l’enceinte Philippe Auguste, les quartiers
denses qui exista sans protection. Il
regarda l’amélioration des études universitaires dans la ville, la passion pour
les Arts qui commença vers son propre début et qui était peut-être le début du
tourisme sur les nouvelles rues pavées.
Au milieu du XIVe siècle, pendant le premier tiers de la guerre
de Cent Ans, Charles V, roi sage, lettré et ami des Arts, construisit un rempart
en terre à protéger les banlieusards qui bientôt devinrent les parisiens. Ce n’était pas un jour triste pour l’ancien protecteur
de Paris parce qu’au lieu d’être un bâtiment froid, maussade et inhospitalier,
il éleva encore une fois. Il devint le
château du roi et la bibliothèque de France, chaleureux et somptueux. Pendant dix ans, les travailleurs
retournèrent, donnant des coups de marteau, édifiant avec gros effort. Il était chez roi pendant dix ans, avant
qu’il était abandonné comme résidence jusqu’au couronnement de François 1er.
À cette époque, le travail continua.
Roi à roi, reine à reine, le Louvre s’établit comme palais royal et
résidence du roi qui pouvait démontrer leur puissance en forme architecturelle. Il rayonna avec tous cette attention, tout ce
soin des gens qui rapetissaient dans l’ombre du château. Catherine de Médicis, reine et plus tard
reine mère, n’aime pas beaucoup l’odeur du Louvre, l’air qui emporta de la
Seine malade avec les cadavres et les égouts, l’air qui emporta l’insalubrité
de Paris, à ce point qu’elle décida créer une sœur siamois, lieu-dit les
Tuileries, à héberger le Roi. La construction
des Tuileries commença en 1564 et vécut comme résidence royale pour la plupart
des souverains jusqu’à Napoléon III. Une
trentaine d’années après le début de construction, Henri IV commença le
« grand dessein » pour la grande double-édifice Louvre-Tuileries, qui
n’était finie que trois cents ans après son début.
Le Louvre, il dormait depuis longtemps, un demi-siècle sans
embellissements, un espace qui servit les besoins des ministères, des
diplomates, des universitaires. On a
envisagea un transfert des tomes de la Bibliothèque royale l’endroit majestueux
où je m’assieds au moment où j’écris cet histoire, pour réaliser les études
universitaires des académiques au Louvre.
C’était un projet impossible, abandonné et repris plusieurs fois sans
succès. Le Louvre, conçu mais dans un état incomplet, avait un sommeil agité,
pas du tout rajeuni.
Il devint centre des académies, plein des écrivains et artistes, centre
culturel, lieu admiré par les parisiens et les étrangers, le Louvre était
encore une fois au cœur de Paris. Il gagna une nouvelle, et peut-être la plus
prestigieuse, fonction le 16 septembre 1792, quand elle est fondée Musée
nationale un mois après la prise des Tuileries, libre et gratuit pour chaque
français, par l’Assemblée Législative.
C’était ainsi possible que tout le monde pouvait tomber amoureux d’un
coup de foudre. Dessous une peinture
romantique, on pouvait exprimer leur grande passion, pas pour un homme ou une
femme, mais pour la pièce, le chef d-œuvre, la grandeur de Paris. L’inauguration de ce formidable musée date le
10 août 1793, l’anniversaire de la chute de la monarchie. Il grandissait encore.
Bonaparte, il rêva grand. Alors que
la monarchie essayait faire fuit de leur destin, Napoléon Bonaparte commença
son assent suprême dans le pays dans lequel il régnerait. Il ramena le palais des Tuileries du moment
où il était Premier Consul de France, en y habitant, lui inscrit dans un
lieu-dit autoritaire de son début. Son
pouvoir dans l’armée lui intitulait un endroit dans la royauté qui se passa à
travers les murs de double-palais.
Il voulut que son palais reflète comme miroir, vitre parfaite et chère, son
importance. Il commença nouveau le
« grand dessein » de Henri IV, réveilla encore la grandeur des
royaumes qui avait existé avant dans une façon inspirante au peuple
français. Il souhaitait construire un
immeuble tellement immense qu’on ne pouvait pas imaginer son énormité. Pour un homme des origines ouvrières « tous
ce qui est beau est grand » (Bresc-Bautier) englobait son quête à monter,
pierre à pierre, bataille à bataille, au trône français. Malgré son manque d’amour pour les Arts, Bonaparte
sut que beaucoup de son pays les aimèrent.
Dans un poursuit de plaisir la populace, il enrichissait les collections
du musée et, en plus, l’édifice avec son butin, fidèle aux anciens designs et
le nouveau but du Louvre. Bonaparte fit
histoire dans le bâtiment historique.
La progression du Louvre vers un métier complètement musée est
commencée. Les cuisines sont fermées,
les artistes sont expulsés, les architectes sont trouvées, les maisons près du
Louvre sont démolies. Dans tous ce
cacophonie, le Louvre se nettoya, encore puissant, encore reconnaissant. Main à main, Napoléon et le Louvre créèrent
une nouvelle identité.
Au début du XIXe siècle, Napoléon s’éleva l’arc de Triomphe du
Carrousel, inspiré par une époque avant ce qui existe le Louvre, qui fait en
plus importance ce cour entre les grands bras du palais et qui devint l’entrée
sous laquelle on se passa pendant leur trajet aux Tuileries. Toujours, on respectera les luttes de Grande
Armée et les soldats napoléons à grâce à cette grande arc, qui coûta un beau
somme d’un million francs. Napoléon
voulut restaurer le Louvre à la gloire que les rois précédents prévu mais ne
purent pas accomplir. On qui put
conquérir les autres pays pourrait compléter cette édifice nationale.
Mais, tout ce qui est grand tombe plus.
Avec la chute de l’Empire, les travaux de Napoléon durent arrêter et
encore le Louvre eut un nouveau roi. Le
Louvre, qui apprenait qu’il était un endroit plus puissant que les hommes, plus
important qu’un seul roi. Où il avait une
fois où les rois dominèrent le Louvre, il devint le dominateur. Bâtiment vieux, il n’était plus dérangé par
les arrêtes de travail. Le plus travail,
le plus qu’il agrandisse, le plus puissant il devient et le plus amour il gagne. Tout recommencerait bientôt.
Au grand désespoir du Louvre, la chute de Napoléon marqua aussi la
disparation des œuvres que Napoléon déposa pendant ses victoires héroïques. Ils étaient renvoyés en Prusse, à Brunswick,
à Hesse et vers la cité du Vatican.
Pendant cette perte désastreuse, le Louvre se résigna à son état
incomplet, avec la connaissance que tout irait bien quelques années plus tard.
En attendant cette heure majestueuse, le Louvre devait souffrir quelques années
d’ennuies. C’était pendant le règne de
Louis XVIII que les travaux qui relieraient les Tuileries et le Louvre étaient
arrêtés. Ce coup, cette catastrophe blessa
encore vraiment les bâtiments qui attendaient toujours leur union. On pouvait comprendre les échanges des
peintures, des sculptures, les changements des rois, mais ce arrête de travail
se sembla comme un creuse sur le visage d’un symbole national. En outre, Louis-Philippe, lieutenant général
du royaume, de la monarchie de Juillet, décida que le Louvre n’était plus
l’endroit parfaite pour les collections des œuvres, mais qu’on devait les
déménager vers le château de Versailles, ancien rival du Louvre. Ce n’était pas le plus pire jour dans
l’histoire du Louvre. Ce jour n’était
pas encore arrivé.
Ce n’était pas un longtemps jusqu’à un Bonaparte retourna au trône. Napoléon III, empereur des Français, neveu de
Napoléon Ier, prince et président d’un pays qui recueillit quelqu’un
qui changerait le visage de France pour toujours. Républicain, mais comme son oncle, admirateur
des traditions royales, il s’installa aux Tuileries, dans les mêmes
appartements de son homonyme. Ce
Napoléon voulut continuer les traditions que son oncle commença, il voulut être
souvenu comme empereur légitime de France.
Il reprit le travail du « grand dessein » avec l’influence des
architectes Visconti et Lefuel, souhaitant finir enfin le double-palais dans un
style qui refléta les travaux précédents.
On lui souvint à jamais l’empereur qui créa le palais le plus important,
le plus grand, qui prit un quartier entier de Paris. Un palais uni qui porterait dans chaque coin
et sur chaque mur les marques d’un homme vénéré.
Napoléon III ne créa pas cette énorme édifice dans la seul poursuit de représenter
son gloire. Il le créa aussi dans une
quête d’aménager tous le pouvoir dans une seule location. Il voulut que le Louvre-Tuileries représente
l’Empire en étant le vrai centre des institutions français. Il avait la bibliothèque du Louvre, le
ministère d’État, une salle des États, les salles des fêtes et, bien sûr, un
musée qui apaisa les français qui aiment toujours les révoltes. Le Louvre connut son plus luxueux, plus
grands, plus chers travaux. Les yeux de
tout le monde se fixèrent sur cette construction immense.
Avec l’opulence qui ne tenait aucun compte de coute, les appartements dans
le style de Napoléon III sont une des grandes attractions du Nouveau Louvre. Tout le monde veut voir la somptuosité d’une
ère qui n’existe plus et existait peu de temps.
Ils ont les anciennes pièces de réception du ministère d’État, couverte
d’un rouge royale qui évoque l’esprit autoritaire et de l’or qui brille sur la
lumière doux des lustres. Ils n’étaient
pas des appartements du duc de Morny, comme on souvent les lui attribué, et ils
n’étaient pas de tout une maison comme le mot signifie aujourd’hui. C’était plutôt un endroit de réception des
nobles, des aristocrates et des hautes bourgeoisies pendants les discussions
importants à France. Ils étaient un coin
du Louvre où on pouvait voir en dehors de la fenêtre les grands cours du
Louvre-Tuileries, l’entrée l’arc du Carrousel à Tuileries et la vie de
l’Empereur. On pouvait voir les
chariots, les chevaux, les activités quotidiennes d’un bâtiment vivant. Le pouvoir de la nation pouvait regarder les transactions
politiques. Le Louvre, encore
forteresse, au lieu d’être protecteur militaire, il devint protecteur
politique, sauveur des Arts, symbole national.
Les murs de ces pièces, couverts par les œuvres d’art dépiquant le
patrimoine de la France et la famille de l’Empereur, gardent les secrets des
conversations qui créèrent l’Europe, ou au moins la France, qu’on connaît de
nos jours. Les chaises impériales sur
lesquelles s’assirent les gens importants du XIXe siècle assistèrent
ces dialogues d’une manière où on fait le papotage émerveillement du cadre
avant les tête-à-tête de l’État. Les
repas du style français, où tous les plats viennent à la table au même temps,
assistèrent l’agrandissement des relations entre convives pendant qu’ils
discutèrent la nourriture qu’on voulut manger au premier. Tous ces conversations dessous les yeux
vigilants de Napoléon III, impeccable dans son cadre. Les femmes, bien ajustées dans leurs chaises indiscrètes,
parlèrent des événements en ville qui n’existèrent que s’élevèrent dans
l’hiérarchie sociale. C’était le sommet
du Louvre, l’heure furtive et raffinée.
Et puis. Le pire.
Les Tuileries, sœur siamoise du Louvre, trois cents ans de construction,
s’était incendié une dizaine d’années après leur complétion par trois
confédérés qui voulurent forcer Paris à soumettre. L’embrasement détruisit presque tout
l’immeuble, sauf que la carcasse des murs extérieurs. Le Louvre, il se sentait la chaleur du feu
léchant son corps. Il connut qu’il y
avait l’eau de la Seine qui coulait assez proche encore trop loin pour
l’aider. L’incendie continua, brûlée,
étendant vers le Louvre, détirant une partie d’aile Richelieu avant qu’ils
l’eurent terminé. Les Tuileries y
moururent, les vestiges justes à la côté de son jumeau qui souffrit le martyre. Le double-palais, le frère et la sœur, n’avait
pas assez du temps de vraiment savoir son perfection. Le Louvre était angoissé, déchiré, ravagé par
son lourd perte. Une partie de son
esprit, de son corps conjoint, la partie diamant était rendue à la terre dans
sa forme élémentaire du charbon jamais à revenir à son ancienne gloire entière. Les liens du sang protègent toujours le
mémoire des Tuileries, la sœur lui manque à tout moment, vision d’elle réanimé
pendant qu’on jette un coup d’œil d’une fenêtre qui face à l’ouest.
Le Louvre. Il survécut les guerres,
les changements du pouvoir, les folies d’étant parisien. Il s’éleva un peu, restauré par les
architectes et les artistes, il porte un échantillon des styles architecturaux,
un effort de maintenir le même mais les embellissements de chaque roi qu’ils ne
pouvaient par résister à faire. C’est
impossible pour un roi à sauvegarder complètement les marques d’un autre sans
impression de lui-même. Palais, il
dormait dans les troubles qui harcelèrent les années qui suivaient, peur de
destruction comme sa sœur, connaissance d’être trop valable, même à l’armée allemande. C’était la fin du XXe siècle qu’on
créa un nouveau monument du Louvre, les Pyramides. Encore, un changement. Encore, le même endroit, débordé de
l’histoire française et des française.
C’est une toile presque complète mais jamais finie.
La bibliographie :
Geneviève
Bresc-Bautier, Le Louvre, une histoire de
Palais (Paris : éditions Assouline, 1995, Musée du Louvre éditions,
Paris, 2008).
Victor Hugo, Notre-Dame de Paris (1831) (Salt Lake City : édition
Project Gutenberg, 2006).
Sylvain
Laveissière, Napoléon et le Louvre,
(Paris : Libraire Arthème Fayard, 2004).
Le Musée du
Louvre, (Paris : expositions de l’histoire du Louvre, 2010).
Pierre Quoniam et
Laurent Guinamard, Le Palais du Louvre,
(Paris : Éditions Nathan 1988).
Daniel Soulié, Le Louvre pour les Nuls, (Paris :
Éditions First-Gründ, Musée du Louvre, 2010).
Anne Dion- Tenenbaum et Michel Laclotte, Les Appartements Napoléon III au musée du Louvre (Paris : Editions
de la Réunion des musées nationaux, 1988).
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